C'est horrible.
A cet instant même, j'aimerais me laisser tenter par quelques douceurs sucrées, des fruits, des gâteaux, une petite glace pourquoi pas ?
Non, non, non,je ne craque pas. De toute façon, il n'y a rien de tout cela dans mes placards.
Le ic, je dois sortir faire des courses ...
Madmoizelle
Madmoizelle veut passer à autre chose
Mardi 21 septembre 2010 à 17:40
Lundi 20 septembre 2010 à 22:42
Madmoizelle n'est plus vraiment une demoiselle mais à trente ans, bien tassés, elle a parfois un peu de mal à se sortir de l'adUlescence pour entrer ans le monde des grandes personnes.
Mais là, ne sera pas le sujet général de son blog.
En fait, Madmoizelle a, ce jour, réalisé que les conneries ne pouvaient plus durer. Le n'importe quoi qu'elle fait subir à sa santé, à son corps, son estomac, doit connaitre la fin de son existence.
Si j'ose affronter le fait d'être boulimique/hyperphage, j'ai de plus en plus peur de ce que sera demain. Les crises me ruinant chaque jour un peu plus le moral, je dois apprendre à contrôler mon comportement, ce qui n'est pas mince quand on sait que tout à commencé il y a bientôt 15 ans et que jamais personne n'ait soupçonné quoi que ce soit. Ni mes parent, ni mes amis, ni mon médecin, ni ma moitié, personne.
Si j'ai su me rendre malade en cachette, il va falloir que j'apprenne à guérir de la même sorte.
A ce jour, je suis une grande fille, j'ai un boulot, un chéri, un appart, des amis, j'envisage même un bébé. Je dois alors combattre, m'en sortir. Me voici en route vers une hypothétique guérison. Le chemin sera obligatoirement long, compliqué, semé de réussites et de rechutes. Être consciente de mon problème est déjà un grand pas. Reste plus qu'à faire sans plutôt qu'avec.
Mais là, ne sera pas le sujet général de son blog.
En fait, Madmoizelle a, ce jour, réalisé que les conneries ne pouvaient plus durer. Le n'importe quoi qu'elle fait subir à sa santé, à son corps, son estomac, doit connaitre la fin de son existence.
Si j'ose affronter le fait d'être boulimique/hyperphage, j'ai de plus en plus peur de ce que sera demain. Les crises me ruinant chaque jour un peu plus le moral, je dois apprendre à contrôler mon comportement, ce qui n'est pas mince quand on sait que tout à commencé il y a bientôt 15 ans et que jamais personne n'ait soupçonné quoi que ce soit. Ni mes parent, ni mes amis, ni mon médecin, ni ma moitié, personne.
Si j'ai su me rendre malade en cachette, il va falloir que j'apprenne à guérir de la même sorte.
A ce jour, je suis une grande fille, j'ai un boulot, un chéri, un appart, des amis, j'envisage même un bébé. Je dois alors combattre, m'en sortir. Me voici en route vers une hypothétique guérison. Le chemin sera obligatoirement long, compliqué, semé de réussites et de rechutes. Être consciente de mon problème est déjà un grand pas. Reste plus qu'à faire sans plutôt qu'avec.